"Partygate": sanctionné, Boris Johnson déterminé à rester au pouvoir
Un temps sur un siège éjectable en janvier en raison de cette crise connue sous le nom de "partygate", le dirigeant conservateur semble désormais protégé par la guerre en Ukraine qui refroidit les ardeurs au sein de sa majorité de ceux qui, il y a peu, se disaient près à le déloger.
La punition, annoncée mardi par Downing Street, constitue néanmoins un revers sévère pour Boris Johnson qui a non seulement enfreint la loi, mais avait aussi pris le risque d'assurer n'avoir rien fait d'illégal au Parlement, lors des pots de départ, apéritifs au soleil et autres fêtes organisés pendant les confinements et révélés ces derniers mois par la presse.