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La "relation spéciale" de Londres et Washington à l'épreuve d'une nouvelle présidence Trump

La "relation spéciale" de Londres et Washington à l'épreuve d'une nouvelle présidence Trump

Si le Premier ministre britannique Keir Starmer a été l'un des premiers dirigeants étrangers à féliciter Donald Trump après sa victoire, le retour du républicain à la Maison Blanche a de quoi inquiéter Londres sur sa "relation spéciale" avec son allié américain.

AFP
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Lors d'un échange téléphonique mercredi soir avec le président élu américain, le chef du gouvernement travailliste s'est "réjoui de travailler en étroite collaboration" avec lui, selon un communiqué de Downing Street. "Je sais que la relation spéciale entre les Etats-Unis et le Royaume-Uni continuera à prospérer", avait-il assuré dans la matinée, peu après le discours de victoire de Donald Trump.

Mais avec les velléités protectionnistes du milliardaire républicain, la question du soutien à l'Ukraine et des propos peu flatteurs proférés par le passé à l'encontre de l'ex-président par certains ministres britanniques, les sujets de divergences avec le gouvernement travailliste ne manquent pas. "Cela va vraiment être une relation compliquée", estime auprès de l'AFP Bronwen Maddox, directrice générale du centre de réflexion Chatham House.

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