Les super-riches quittent-ils vraiment Londres ?

Les manoirs de la capitale sont vides, les penthouses désertés. Il n'y a plus de grandes fêtes, plus de discussions d'affaires résonnant contre le marbre, plus de chefs privés tranchant du Wagyu dans la deuxième cuisine, séparant habilement la viande de l'os. Les œuvres d'art ont été rangée dans leurs unités de stockage à température contrôlée, ou expédiées à New York, Bâle, Singapour ; les supercars dorment paisiblement dans leurs garages. Le seul bruit est celui des femmes de ménage, qui polissent encore les accessoires dorés et époussettent les meubles recouverts de plastique.