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Après la fermeture de centaines de clubs, le Royaume-Uni veut retrouver le sens de la fête
La vie nocturne britannique traverse une crise sans précédent. Depuis 2020, près d'un tiers des clubs du Royaume-Uni ont fermé leurs portes, soit environ 400 établissements selon la Night Time Industries Association (NTIA). Une hécatombe qui pousse les autorités à réagir.
Une crise accélérée par la pandémie
Si le déclin était déjà amorcé avant la crise sanitaire, le Covid-19 a considérablement accéléré les fermetures. L'inflation galopante a ensuite porté le coup de grâce, faisant exploser les factures et loyers des discothèques, tout comme ceux de leur clientèle.
Le Pryzm Kingston, une discothèque emblématique du sud-ouest de Londres où se sont produits Billie Eilish, Rod Stewart et Stormzy, a ainsi fermé ses portes mi-juillet. Ses propriétaires évoquent la nécessité de "se tourner vers l'avenir et réimaginer ce site pour la prochaine génération de fêtards".
Une génération Z moins portée sur la fête
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