Notre catégorie Business couvre des informations sur la vie économique et financière au Royaume-uni. Restez informé des tendances du marché et des opportunités d'affaires qui peuvent vous aider à développer votre entreprise en Angleterre.
Le géant américain de la distribution en ligne Amazon ouvre mercredi une boutique non alimentaire au Royaume-Uni, la première hors des Etats-Unis, venant ainsi concurrencer d'encore plus près les magasins traditionnels.
Le ministre des Finances, Rishi Sunak, dévoile lundi une aide de plus de 500 millions de livres (584 millions d'euros) en faveur de l'emploi, après la fin la semaine dernière du dispositif gouvernemental de chômage partiel qui a soutenu l'emploi au Royaume-Uni pendant la pandémie.
La fin jeudi du dispositif gouvernemental de chômage partiel, qui a soutenu l'emploi au Royaume-Uni pendant la pandémie, fait craindre à certains économistes une hausse du chômage qui pourrait frapper surtout les plus fragiles.
"Retournez au bout de la queue, vous êtes là depuis cinq minutes à peine !", s'énerve Lisa Wood, une automobiliste qui patiente depuis plus d'une heure dans une station-service près du célèbre London Bridge, au cœur de Londres.
Engrais, énergie, chimie, alimentation, sidérurgie... L'envolée des prix du gaz naturel est douloureusement ressentie au Royaume-Uni par de nombreux secteurs qui pressent le gouvernement d'agir.
Le gendarme britannique de la concurrence a averti lundi que les entreprises qui exagèrent leur performance environnementale pour mieux se vendre avaient jusqu'au nouvel an pour se mettre en conformité avec la loi, avant d'éventuelles sanctions.
La Chambre de commerce franco-britannique a organisé ce mardi 14 septembre le premier événement en personne avec ses membres après 18 mois d'interruption.
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a annoncé mardi une hausse des prélèvements sociaux, brisant une promesse de campagne pour remettre d'aplomb le système de santé et résorber les très importants retards de soins accumulés durant la pandémie.
Avec la fin annoncée du vaste programme gouvernemental de chômage partiel qui a soutenu l'emploi au Royaume-Uni depuis le début de la pandémie, les économistes craignent des vagues de licenciements mais pas forcément la fin des pénuries de travailleurs qui frappent certains secteurs.
Les publicités pour les cryptomonnaies devraient être plus encadrées, même en ligne, a demandé lundi le gendarme britannique des marchés, la FCA, utilisant l'exemple d'un récent poste Instagram de la vedette Kim Kardashian.
Les exportations d'alimentation et de boissons depuis le Royaume-Uni sont en baisse de 2 milliards de livres comparé à avant la pandémie à cause d'une chute des ventes vers l'Union européenne qu'une augmentation des achats par les pays hors-UE ne parvient pas à compenser.
Autrefois bouillonnant, le célèbre quartier des affaires reprend doucement vie, mais porte encore les stigmates de la pandémie, avec des travailleurs peu pressés de revenir au bureau et des questions sur l'avenir de ce symbole de la puissance financière britannique.
Des supermarchés aux restaurants en passant par les usines, les pénuries s'aggravent au Royaume-Uni à cause des problèmes d'approvisionnement générés par le Brexit et la pandémie, les patrons pressant le gouvernement d'agir, notamment à l'approche des fêtes de Noël.
Les salaires des grands patrons au Royaume-Uni ont diminué en 2020, faisant preuve de modération en raison de la pandémie, mais l'écart avec celui d'un travailleur moyen reste très élevé, révèle jeudi le centre de recherche High Pay Centre.
Le nombre de banquiers dans l'Union européenne ayant gagné plus d'un million d'euros est resté stable en 2019, mais le Royaume-Uni a vu certains de ses plus fortunés rejoindre le continent à cause du Brexit, a révélé mercredi l'Autorité bancaire européenne (ABE).
Les chiffres de l'emploi au Royaume-Uni continuent de s'améliorer grâce à la reprise économique, avec une baisse du taux de chômage et un nombre record de postes à pourvoir, a annoncé mardi le Bureau national des statistiques (ONS).
L'économie britannique est repartie de l'avant au deuxième trimestre, avec un rebond de 4,8% du PIB grâce à la levée des restrictions sanitaires, mais des risques persistent avec notamment la poussée du variant Delta.
La Banque d'Angleterre (BoE) a opté jeudi pour le statu quo dans sa politique monétaire très accommodante, même si elle s'attend à ce que l'inflation grimpe temporairement jusqu'à 4% au quatrième trimestre de 2021.