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La PDG d'Eurostar assume ses tarifs et veut augmenter la cadence
Photo by Umair Dingmar / Unsplash

La PDG d'Eurostar assume ses tarifs et veut augmenter la cadence

"Eurostar, ce n'est pas une compagnie low cost", tranche sa directrice générale Gwendoline Cazenave dans un entretien à l'AFP, balayant les critiques sur les tarifs du Paris-Londres. L'entreprise veut encore se développer et demande plus d'espace dans les gares des deux côtés de la Manche.

AFP
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"La politique de service et la politique de prix que nous avons chez Eurostar, elle nous permet d'avoir 80%" de part de marché sur le Londres-Paris face à l'avion, plaide la dirigeante présente dans la délégation du président français Emmanuel Macron, en visite d'État au Royaume-Uni.

Un chiffre "qui prouve", selon elle, que la compagnie répond à la demande sur ce segment ultra-fréquenté. Les tarifs de l'Eurostar sur la ligne sont souvent bien plus chers que ceux de l'avion, ce qui pousse de nombreux voyageurs à opter pour l'aérien, malgré son empreinte carbone. Il est courant que l'aller-retour dépasse 350 euros, surtout aux heures de pointe ou les jours de grands départs.

"Il faut plus de place"

"Nos voyageurs savent que s'ils anticipent, ils peuvent voyager de Londres à Paris pour 39 pounds" (ou 44 euros), répond Mme Cazenave, qui met aussi en avant le service Eurostar Snap de prix réduits en dernière minute (mais sans connaître l'horaire du train attribué).

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