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L'accord franco-britannique sur l'immigration à l'épreuve du réel : premiers renvois mais mise en œuvre difficile
L'accord migratoire signé entre Emmanuel Macron et Keir Starmer en juillet dernier peine à démontrer son efficacité. Malgré les premières expulsions, les difficultés techniques et juridiques s'accumulent, soulevant des questions sur la viabilité de ce dispositif présenté comme "révolutionnaire".
Quatre mois après sa signature lors de la visite d'Emmanuel Macron au Royaume-Uni, l'accord franco-britannique sur l'immigration révèle ses premières failles. Qualifié de "révolutionnaire" par le Premier ministre travailliste Keir Starmer, ce dispositif basé sur le principe du "un pour un" devait permettre le retour en France de migrants arrivés illégalement au Royaume-Uni, en échange de l'envoi dans le sens inverse de migrants éligibles à une régularisation.
Un bilan modeste face aux attentes
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