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Le produit intérieur brut britannique (PIB) a légèrement rebondi, de 0,2% en juillet, après un recul de 0,6% en juin, tiré notamment par le secteur des services, a annoncé lundi l'Office national des statistiques (ONS).
Nombre de pubs et brasseries pourraient se retrouver forcés de mettre la clé sous la porte au Royaume-Uni à cause de l'envolée vertigineuse des prix de l'énergie, avertissent des patrons du secteur mardi dans une lettre ouverte appelant le gouvernement à intervenir.
Le dollar est passé quelques instants lundi au dessus du seuil d'un euro, le billet vert profitant de la détermination de plusieurs membres de la Réserve fédérale américaine (Fed) à resserrer leur politique monétaire.
Boris Johnson, Premier ministre britannique sur le départ, a donné son feu vert au financement du coûteux projet de centrale nucléaire Sizewell C, affirment les médias britanniques, à quelques jours de la nomination du ou de la nouvelle chef(fe) de gouvernement.
La Banque d'Angleterre est sous le feu de critiques venues du gouvernement, mais aussi d'économistes et d'anciens dirigeants de l'institut monétaire, qui l'accusent de s'être endormie au volant et d'avoir laissé l'inflation la plus forte du G7 s'installer.
L'inflation au Royaume-Uni a bondi en juillet à 10,1% sur un an, passant la barre symbolique d'une hausse des prix à deux chiffres qui promet d'aggraver un peu plus la crise du coût de la vie.
Le produit intérieur brut britannique (PIB) s'est contracté de 0,1% au deuxième trimestre alors que la crise du pouvoir d'achat qui sévit dans le pays devrait s'aggraver à l'automne.
La Banque d'Angleterre a annoncé jeudi une hausse des taux d'un demi-point de pourcentage, mesure drastique pour contrer l'inflation qui s'accélère et va selon elle plonger le Royaume-Uni en récession pour plus d'un an.
Dans la foulée des autres majors pétrolières, qui ont engrangé au deuxième trimestre d'énormes bénéfices gonflés par la flambée des hydrocarbures, le géant britannique BP a annoncé mardi avoir multiplié par trois ses profits pour la période.
Tirer parti du Brexit pour la finance et lutter contre l'inflation: le nouveau Chancelier de l'Echiquier du Royaume-Uni Nadhim Zahawi, comme le gouverneur de la Banque d'Angleterre (BoE) Andrew Bailey, ont déroulé leurs priorités mardi soir devant la communauté des affaires britanniques.
"Cherche deux chefs. Salaires excellents. Logement fourni." Ou encore: "On embauche. Expérience pas nécessaire." A Keswick, haut lieu touristique du nord-ouest de l'Angleterre, on trouve des offres d'emploi à tous les coins de rue.
L'euro est tombé mardi à un dollar, seuil qui n'avait pas été atteint depuis l'année de sa mise en circulation il y a deux décennies, plombé par le risque d'une coupure des approvisionnements russes en gaz pour l'Union européenne.
Le lobbyiste Mark MacGann a déclaré dans The Guardian être le lanceur d'alerte sur les pratiques d'Uber et celui qui a fourni des milliers de documents compromettants sur la société américaine au quotidien britannique.
L'euro a touché mardi son plus bas niveau depuis près de 20 ans face au dollar américain, à 1,0298 dollar pour un euro, emporté par les tensions sur l'énergie en Europe et la force du billet vert.
La croissance faible des salaires et des inégalités de revenus persistantes depuis plus de quinze ans "exposent brutalement" les familles britanniques à la crise actuelle du coût de la vie, selon une étude publiée lundi par le centre de réflexion Resolution Foundation.
Le dollar, valeur refuge, était en hausse marquée vendredi face à la livre britannique, profitant des craintes sur l'économie mondiale et du ton déterminé de la Réserve fédérale américaine (Fed) face à l'inflation.
La Banque d'Angleterre (BoE) a annoncé jeudi une cinquième hausse consécutive de son taux directeur, pour lutter contre l'inflation qui devrait, selon elle, dépasser 11% cet automne, mais la prudence de son message inquiétait les marchés et certains économistes.
Le Produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a baissé en avril pour le deuxième mois consécutif, une première depuis la forte chute du tout début de la pandémie, entreprises et ménages continuant d'encaisser la flambée des prix de l'énergie.
Le salaire médian des patrons d'entreprises du FTSE-100, l'indice boursier regroupant les plus grosses capitalisations de la place de Londres, a retrouvé dès 2021 le niveau d'avant la pandémie à 3,62 millions de livres, d'après une étude du cabinet Deloitte.
Le prix de l'essence vole de record en record et a dépassé pour la première fois 1,70 livre (près de 2 euros) le litre au Royaume-Uni, d'après l'association d'usagers de la route RAC, qui appelle le gouvernement à agir face à la crise du coût de la vie.
Face aux fermetures d'agences qui se multiplient dans le pays, Londres s'apprête à étendre les pouvoirs du régulateur des marchés pour s'assurer que les banques maintiennent l'accès à l'argent liquide aux millions de Britanniques qui l'utilisent dans leur vie quotidienne.
Le taux d'inflation a bondi à 9% en avril sur douze mois au Royaume-Uni, un record en 40 ans, principalement à cause des prix de l'énergie, ce qui devrait accroître la crise du coût de la vie.
Le chômage a encore baissé à fin mars au Royaume-Uni, où le marché du travail tourne à plein régime, mais les salaires réels hors bonus baissent, mangés par l'inflation et témoignant de la crise du coût de la vie.
La croissance économique au Royaume-Uni a ralenti au premier trimestre à 0,8% contre 1,3% pour les trois derniers mois de 2021, et le produit intérieur brut (PIB) britannique a même reculé de 0,1% au mois de mars, a annoncé jeudi l'Office national des statistiques (ONS).